Harragas, ou les brûleurs du détroit. - wideo
Dans le port de Tanger, ils sont des centaines de jeunes à errer, livrés à eux-mêmes, sous le regard indifférent des passants, des touristes, des autorités. Ils vivent en bandes, dorment dehors, se shootent à la colle ou au gaz carbonique des voitures. Agés de 7 à 17 ans, ces enfants mineurs sont les produits de la misère rurale, de la déscolarisation et du rêve occidental qui représente la réponse fantasmée aux injustices vécues chaque jour. À Tanger, il suffit presque de tendre le bras pour avoir l’illusion de toucher l’autre rive du détroit de Gibraltar, l’Espagne, la terre promise. Pour traverser, il n’y a qu’une solution : pénétrer dans l’enceinte du port, déjouer la surveillance des policiers et s’engouffrer au plus vite sous les remorques des camions et des autocars qui embarquent à bord des ferries à destination de l’Europe. Les images sont d'Yvon Bodin. Le montage est de Sophie Kerboul. Driss El Bakkali fut notre fixeur.
Dans le port de Tanger, ils sont des centaines de jeunes à errer, livrés à eux-mêmes, sous le regard indifférent des passants, des touristes, des autorités. Ils vivent en bandes, dorment dehors, se shootent à la colle ou au gaz carbonique des voitures. Agés de 7 à 17 ans, ces enfants mineurs sont les produits de la misère rurale, de la déscolarisation et du rêve occidental qui représente la réponse fantasmée aux injustices vécues chaque jour. À Tanger, il suffit presque de tendre le bras pour avoir l’illusion de toucher l’autre rive du détroit de Gibraltar, l’Espagne, la terre promise. Pour traverser, il n’y a qu’une solution : pénétrer dans l’enceinte du port, déjouer la surveillance des policiers et s’engouffrer au plus vite sous les remorques des camions et des autocars qui embarquent à bord des ferries à destination de l’Europe. Les images sont d'Yvon Bodin. Le montage est de Sophie Kerboul. Driss El Bakkali fut notre fixeur.
Harragas, ou les brûleurs du détroit. - wideo
Dans le port de Tanger, ils sont des centaines de jeunes à errer, livrés à eux-mêmes, sous le regard indifférent des passants, des touristes, des autorités. Ils vivent en bandes, dorment dehors, se shootent à la colle ou au gaz carbonique des voitures. Agés de 7 à 17 ans, ces enfants mineurs sont les produits de la misère rurale, de la déscolarisation et du rêve occidental qui représente la réponse fantasmée aux injustices vécues chaque jour. À Tanger, il suffit presque de tendre le bras pour avoir l’illusion de toucher l’autre rive du détroit de Gibraltar, l’Espagne, la terre promise. Pour traverser, il n’y a qu’une solution : pénétrer dans l’enceinte du port, déjouer la surveillance des policiers et s’engouffrer au plus vite sous les remorques des camions et des autocars qui embarquent à bord des ferries à destination de l’Europe. Les images sont d'Yvon Bodin. Le montage est de Sophie Kerboul. Driss El Bakkali fut notre fixeur.
Dans le port de Tanger, ils sont des centaines de jeunes à errer, livrés à eux-mêmes, sous le regard indifférent des passants, des touristes, des autorités. Ils vivent en bandes, dorment dehors, se shootent à la colle ou au gaz carbonique des voitures. Agés de 7 à 17 ans, ces enfants mineurs sont les produits de la misère rurale, de la déscolarisation et du rêve occidental qui représente la réponse fantasmée aux injustices vécues chaque jour. À Tanger, il suffit presque de tendre le bras pour avoir l’illusion de toucher l’autre rive du détroit de Gibraltar, l’Espagne, la terre promise. Pour traverser, il n’y a qu’une solution : pénétrer dans l’enceinte du port, déjouer la surveillance des policiers et s’engouffrer au plus vite sous les remorques des camions et des autocars qui embarquent à bord des ferries à destination de l’Europe. Les images sont d'Yvon Bodin. Le montage est de Sophie Kerboul. Driss El Bakkali fut notre fixeur.
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